«On juge un arbre à ses fruits comme on juge un maire à ses réalisations. Il a peut-être quelques fruits de pourris dans son arbre, mais il en a aussi des bons», soutient métaphoriquement celui qui a dirigé la ville entre 1981 et 1989. «Il faut reconnaître la santé financière de la ville et la venue du métro. Malgré la démission dans la controverse, Laval ne cessera pas de fonctionner», poursuit-il.